J’affectionne l’inconscient collectif de Karl Jung : être relié à l’univers et faire en sorte que notre inconscient ne soit pas que le lieu de nos refoulements, mais la niche de notre être profond :  le soi, ultime union de nos opposés (féminin/masculin).

J’aime les parties infantiles intemporelles qui attendent que l’on vienne les écouter. Elles s’identifient dans notre mental. Tour à tour, elles prennent la parole dans un brouhaha qui nous obsède continuellement, voire source d’insomnie et de stress. Toutes ces parties ne demandent que de la reconnaissance. Les ignorer, c’est nourrir la violence. Elles cachent des besoins non entendus. En effet, un besoin non entendu est un besoin frustré qui nous fait souffrir, tant dans la tête que dans notre corps.

Ce sont des pensées à tout va, des émotions qui bloquent notre puissance de vie